Il m’a baisée sur une plage déserte, comme un animal affamé

Il m’a baisée sur une plage déserte, comme un animal affamé

J’avais juste besoin de m’évader. Je ne pensais pas finir nue, à quatre pattes dans le sable.

J’avais pris une semaine loin de tout. Déconnexion, chaleur, silence.
Un bungalow, la mer, personne autour. Juste moi, le soleil… et cette envie sourde au fond du ventre.
Je passais mes soirées seule, à écouter du téléphone rose etudiante dans mes écouteurs, à me caresser doucement en rêvant d’un inconnu qui me prendrait sans prévenir, dehors, sans lit, sans mots doux. Juste du cul. Juste du besoin.

Et ce jour-là… il est arrivé. Torse nu, bronzé, regard noir. Il marchait sur la plage, seul.
Il s’est arrêté. M’a regardée. Et j’ai su.


Je l’ai suivi sans parler. Et j’ai fini nue contre un rocher.

Il n’a pas parlé. Il a juste fait un geste. De la tête. Vers la crique.
Je l’ai suivi. Pieds nus, la chatte déjà chaude.
On a contourné les rochers. Trouvé une anse, vide, brûlante. Le sable collait à ma peau.

Il m’a regardée. A baissé son short.
Sa queue bandait déjà.

Je me suis approchée. L’ai touché. Il m’a attrapée par les hanches.
Et il m’a baisée.
Là. Maintenant. Comme un animal.


Le sable dans les genoux, sa queue dans ma chatte

Il m’a mise à genoux. Tiré les cheveux.
Et il m’a prise. Brutalement.
Le sable m’arrachait les genoux. Mais je m’en foutais.

— T’es venue pour ça ? Pour te faire baiser dehors, salope ?
— Oui… défonce-moi.

Il allait fort. Ses coups de reins faisaient claquer mes seins contre ma poitrine.
J’étais trempée. Moite. Offerte.
Ma chatte coulait sur ses couilles.

Il me baisait comme si le monde allait s’arrêter.


Je jouis en hurlant contre le vent. Et il m’arrose le dos.

Je suis venue. Fort. Longtemps. En criant.
Ma voix se perdait dans le vent.
Mon cul s’écrasait contre lui. Il grognait. Il me tenait fort.
Puis il s’est retiré. A giclé sur mon dos, sur mes fesses, sur le sable chaud.

Il s’est redressé. A remis son short.
— Profite bien de ton séjour.

Et il est reparti. Sans se retourner.

Moi, j’étais nue, salie, encore tremblante. Et je souriais.

Baisée sur une plage déserte. Sans prénom. Sans pudeur. Juste du foutre et du sable.

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